Votre Coopérateur de septembre est à votre porte!
Pour ce numéro qui termine la saison estivale, le Coopérateur vous attend avec une belle sélection de reportages et portraits de productrices et producteurs.
C’est Cathy Fraser qui ouvre le bal dans « La dame de la coopération », où vous aurez l’occasion d’en apprendre plus sur cette administratrice de Sollio Groupe Coopératif. C’est une femme aux forces de convictions profondes, qu’elle s’assure de matérialiser au quotidien.
À la Ferme Rodrigue, membre d’Unoria Coopérative et située au Bas-Saint-Laurent, vous découvrirez une ferme en traite robotisée, qui a dépassé les 45 kg de lait par vache au cours de l’été (même durant la canicule!), dans une étable en L, à la forme plus qu’atypique. Comme quoi on peut être très productifs, sans tout reconstruire.
« De bison et d’air pur » suit le parcours plus qu’inattendu d’Anouk Caron. C’est une détermination sans faille qui lui a permis de créer une ferme dans une production marginale (les bisons), où certains pensaient qu’une femme n’avait pas de chances de réussir. Vraiment? La productrice aura démenti ces préjugés!
En aviculture, on discute de biosécurité, parce que l’influenza aviaire continue ses ravages un peu partout. On ne sera jamais trop prudent.
Côté porc, des solutions innovantes peuvent vous aider à tirer votre épingle du jeu, ce qu’on retrouve dans « Alimentation automatisée : la précision, planche de salut en production porcine ». Le Coopérateur fait aussi un crochet à la Ferme Chaby, une ferme en engraissement à Saint-Narcine-de-Beaurivage, gérée par Joey Blaney (5e génération).
Au coeur du magazine, vous tomberez sur un dossier sur la Nouvelle-Zélande, où le gouvernement a choisi de s’attaquer à la production de gaz à effets de serre en production animale en taxant... les vaches.
Vous n’avez pas tout votre soûl en sujets plus environnementaux? Tournez encore quelques pages pour en savoir plus sur les bandes riveraines de la Ferme Sainte-Victoire, membre d’Agiska Coopérative, où l’on retrouve Michaël, Maude et Renaud pour nous en dire plus.
Finalement, vivez-vous des conflits à la ferme? Une des astuces pour réduire les frictions serait assurément de vous doter d’une convention d’actionnaire dès la création de la société par actions (voir en p. 50). Et pour d’autres trucs, on vous invite à lire « La gestion des conflits à la ferme », un entretien fait avec Pierrette Desrosiers, psychologue, conférencière et coach d’affaires spécialisée auprès des entreprises agricoles. Vous pouvez aussi écouter l’épisode de balado qui a inspiré le texte, ici.
Bonne lecture et bonne écoute!