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Publireportage – Améliorer le bien-être, économiser de l’argent et réduire les GES

On sait que la qualité de l’environnement d’un bâtiment d’élevage influence fortement les performances de vos animaux. L’échangeur d’air et récupérateur de chaleur à plaques XR Nordika peut vous aider à l’améliorer de façon significative.

Les grandes variations de température sont monnaie courante. Les systèmes de ventilation traditionnels des bâtiments d’élevage s’ajustent tant bien que mal. L’hiver, bien souvent, il y entre trop d’air froid, ce qui déclenche à de multiples reprises le système de chauffage. « Et si, en plus, cet air froid est chargé d’humidité, il va tomber plus rapidement sur les animaux, ce qui nuira à leur bien-être », révèle le consultant en systèmes de ventilation et d’éclairage Guy Courcelle.

« Avec l’échangeur et récupérateur de chaleur XR Nordika, vous bénéficiez d’une qualité d’air supérieure tout en réduisant votre empreinte écologique et vos coûts de chauffage, poursuit le spécialiste. C’est le choix tout indiqué pour le confort et le bien-être de vos animaux d’élevage. »

Comment ça fonctionne?

« Chaque fois que vous ventilez un bâtiment que vous chauffez, vous expulsez de l’énergie à l’extérieur, explique Guy Courcelle. Pour minimiser cette perte d’énergie, un échangeur devient intéressant et tout particulièrement lorsqu’il est doté d’un récupérateur de chaleur. L’appareil maximisera la température de l’entrée d’air en profitant de la température de la sortie d’air. »

En hiver, avec un système de ventilation traditionnel, l’air froid rentre dans le bâtiment à -20 °C, par exemple, et y sera mélangé à l’air ambiant, illustre-t-il. Si la température intérieure est à 20 °C, l’air froid, en se mélangeant à l’air intérieur, en fera baisser la température de façon importante. Cette baisse drastique provoquera un besoin de chauffage et une dépense énergétique. Le ventilateur traditionnel continuera de fonctionner pour apporter de l’oxygène dans le bâtiment tout en expulsant à l’extérieur de l’air réchauffé à 20 °C.

« L’échangeur et récupérateur de chaleur XR Nordika expulsera aussi à l’extérieur l’air du bâtiment, précise Guy Courcelle, mais, avant de sortir, cet air passera par le système de plaques à convection de l’échangeur. La chaleur récupérée servira à réchauffer l’air entrant. L’air n’entrera donc pas à une température de -20 °C, mais plutôt, une fois réchauffé, à une température d’environ 12 °C, ce qui ne fera chuter la température ambiante que de quelques degrés. La dépense énergétique nécessaire pour le ramener à 20 °C sera ainsi bien moindre. On estime que l’on peut réaliser jusqu’à 60 % d’économie d’énergie. Et cette dépense énergétique réduite entraînera une production moindre de GES. »

Bien-être et productivité

« L’échangeur joue donc deux rôles : il économise l’énergie et accroît la qualité de l’air. En plus d’expulser l’humidité, le XR Nordika éjecte du même coup l’ammoniac et le gaz carbonique, ajoute Guy Courcelle, ce qui favorise une meilleure ambiance de vie dans les bâtiments. » Et qui dit bien-être animal dit performance d’élevage accrue.

Le XR Nordika est un appareil de 56 cm (22 po) de largeur qui peut facilement s’insérer dans l’emplacement d’un ventilateur traditionnel dans tout bâtiment d’élevage porcin ou avicole.

Il est possible d’obtenir de l’aide financière pour adopter cette technologie, notamment de la part du Fonds vert et d’Hydro-Québec. Renseignez-vous.

Consultez votre marchand BMR ou Agrizone pour en savoir davantage.

Photo : BMR-Agrizone

Patrick Dupuis

QUI EST PATRICK DUPUIS
Patrick est rédacteur en chef adjoint au magazine Coopérateur. Agronome diplômé de l’Université McGill, il possède également une formation en publicité et en développement durable. Il travaille au Coopérateur depuis plus de vingt ans.

patrick.dupuis@lacoop.coop

patrick.dupuis@sollio.coop

QUI EST PATRICK DUPUIS
Patrick est rédacteur en chef adjoint au magazine Coopérateur. Agronome diplômé de l’Université McGill, il possède également une formation en publicité et en développement durable. Il travaille au Coopérateur depuis plus de vingt ans.

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