Chez Agrizone, rien ne sert de courir, il faut partir à point, et avancer avec minutie, étape par étape. C’est ainsi que procèdent les experts des services spécialisés pour soumissions de bâtiments lorsqu’il s’agit d’accompagner une entreprise agricole dans ses choix d’équipements.
On procède aussi en synergie. Denis Cliche, représentant des ventes commerciales chez Agrizone, à Avantis Coopérative, et Marc Drolet, conseiller technique, Agrizone, au sein de Groupe BMR, ont été au-devant de la scène d’un projet d’envergure.
À la Ferme J.P. Poulin, de Saint-Georges-de-Beauce, le projet de construction d’une nouvelle étable laitière couvait depuis quelque temps. On souhaitait passer de la stabulation entravée à la stabulation libre avec robots de traite. Le rêve s’est concrétisé lorsque les vaches sont entrées, le 3 février dernier, dans une étable dernier cri de 320 pieds sur 150 (dont 280 sur 150 pour y loger le troupeau). Le cheptel compte 145 vaches en lactation et un total de 320 têtes.
Sarah Poulin, copropriétaire de l’entreprise depuis 2011 avec ses parents et son conjoint, a misé sur la robotisation. Trois robots de traite sont actuellement en fonction. On y compte aussi trois robots aspirateurs de fumier Aspi’ Concept de marque CRD et un robot repousse-fourrage.
« Les robots Aspi’ Concept nettoient efficacement partout où les raclettes n’ont pas accès, explique Denis Cliche, dans les passages et autour des robots de traite, par exemple, ce qui fait gagner du temps. Même chose pour le robot repousse-fourrage, qui repousse les aliments devant les vaches. »
En matière d’aménagement des logettes, Sarah a choisi d’installer des tapis de caoutchouc Kew Plus, et des limiteurs d'avancement Ergoboard, de l’entreprise Kraiburg. « Les Ergoboard, faits de caoutchouc souple et flexible, assurent que les vaches ne s’allongent pas trop loin dans la logette, et leur permettent de s’appuyer les pattes, ce qui favorise leur confort », décrit Marc Drolet.
Quelle que soit l’envergure du projet, Agrizone offre un service personnalisé, des produits de qualité adaptés aux besoins des producteurs et productrices et des prix compétitifs.
« Être à l’écoute de leurs besoins est la toute première étape, commente Denis Cliche. C’est la base pour bien comprendre le projet. C’est ce qui nous a permis de les guider vers les bons choix d’équipements. »
« Nous avons rencontré Sarah à la ferme à de multiples reprises pour lui décrire les produits que nous avions à leur proposer, répondre à toutes ses questions, la conseiller et lui expliquer comment les installer, indique Marc Drolet. C’est un véritable travail d’équipe qui a commencé dès le début du projet. »
« Les producteurs ne sont jamais livrés à eux-mêmes, ajoute Denis Cliche. Nous suivons le processus de A à Z. On s’assure que tout est conforme, au moment de la commande, à la réception des produits et lors de l’installation. Notre but, c’est de les guider et de les aider à faire le choix des produits qui correspondent le mieux à leurs besoins. »
« S’il y a le moindre pépin, si les plans ont changé, on intervient rapidement pour s’ajuster afin de ne pas retarder la construction », souligne Denis Cliche.
Sarah, qui a été décorée du titre de Jeune Agricultrice de l’année en 2016, et a décroché le titre de maître-éleveur en 2022, estime que l’avenir dans la conception des bâtiments, c’est la flexibilité. « Les produits que nous avons choisis, les robots tout particulièrement, offrent cette flexibilité et améliorent notre qualité de vie. »
Les conseils et le service que lui a apporté Denis Cliche et Marc Drolet ont été excellents, commente la productrice. « Les tapis et limitateurs d’avancement sont de qualité et correspondent exactement à ce que je voulais. »
Cet article est paru dans le Coopérateur de mai-juin 2025.
