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Publireportage – Le pâturage intensif : économies et durabilité!

Le programme pancanadien de Gestion intensive des pâturages a été reconduit. Raison de plus pour l’essayer et l’adopter.

Ce programme est financé par le Fonds d’action à la ferme pour le climat. Ce fonds aide les agriculteurs à adopter des pratiques de gestion bénéfiques et durables visant à stocker le carbone et à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il offre de l’argent pour acheter la quincaillerie et supporter les coûts associés à l’implantation d’un système de pâturage intensif. Une partie du fonds sert aussi à payer la conception d’un plan de paissance.

Bien s’équiper

Le programme subventionne l’achat de matériel neuf et les travaux requis pour la construction de nouvelles clôtures permettant la subdivision des pâturages en plus petites parcelles.

« Pour les clôtures électriques, on privilégie l’utilisation d’une broche de calibre 12 et d’isolateurs de qualité pour maintenir un courant suffisant et éviter les courts-circuits, recommande Marc Drolet, conseiller technique chez Agrizone. On doit prévoir un point de mise à la terre pour chaque deux joules d’énergie. »

Le programme offre également des sommes pour l’achat de systèmes d’abreuvement installés dans des parcelles éloignées et, si l’eau ne provient pas de la municipalité, de systèmes utilisant de l’énergie renouvelable (solaire ou éolienne) pour actionner la pompe. On peut aussi se servir du fonds pour l’achat de conduites et le financement du creusage de tranchées. Les systèmes d’abreuvement hivernaux réutilisés dans les pâturages pendant l’été sont également couverts.

Pour mettre en place un système d’abreuvement avec une pression et un débit d’eau suffisants, on devra se doter d’une pompe performante et de conduites d’eau principales d’un diamètre minimal de 2,5 cm (1 po). Prévoyez un nombre suffisant de points d’abreuvement afin d’éviter le piétinement excessif des plantes. Les valves de couplage rapide facilitent le branchement et le débranchement des tuyaux et des abreuvoirs lors des changements de parcelles. Optez pour des flottes de bonne qualité pour contrôler l’ouverture des valves afin que le niveau de l’eau dans les abreuvoirs demeure adéquat.

Le pâturage intensif est bénéfique pour le portefeuille et l’environnement. Votre marchand BMR ou Agrizone offre un large éventail d’équipements qui vous facilitent la vie en régie de pâturage intensive, tels électrificateurs, fils et broches, bacs d’abreuvement et bien plus.



Le pâturage intensif

La gestion de pâturage intensive se caractérise par une rotation rapide des animaux sur des parcelles plus petites. Elle convient particulièrement aux éleveurs vaches-veaux, mais peut s’appliquer dans n’importe quelle entreprise qui utilise les pâturages.

« Cette technique accroît le rendement et la qualité des fourrages tout en allongeant la saison de paissance », affirme Éric Boyer, conseiller chez Agrizone. Résultat : des économies importantes. Une tonne de matière sèche récoltée mécaniquement (ensilage de balles rondes) coûte deux fois plus cher que lorsque récoltée directement par les animaux sous pâturage intensif.

« On doit laisser un couvert végétal suffisant en changeant les animaux de parcelles plus fréquemment qu’en pâturage extensif ou en rotation, ajoute Marc Drolet. La végétation protège le sol des variations de température et l’aide à conserver un bon taux d’humidité. En bonus, les parcelles sous régie intensive séquestrent davantage de carbone et offrent un meilleur contrôle des pertes d’azote par lessivage et volatilisation. »

Photo : BMR-Agrizone

Patrick Dupuis

QUI EST PATRICK DUPUIS
Patrick est rédacteur en chef adjoint au magazine Coopérateur. Agronome diplômé de l’Université McGill, il possède également une formation en publicité et en développement durable. Il travaille au Coopérateur depuis plus de vingt ans.

patrick.dupuis@lacoop.coop

patrick.dupuis@sollio.coop

QUI EST PATRICK DUPUIS
Patrick est rédacteur en chef adjoint au magazine Coopérateur. Agronome diplômé de l’Université McGill, il possède également une formation en publicité et en développement durable. Il travaille au Coopérateur depuis plus de vingt ans.

patrick.dupuis@lacoop.coop

BMR